
Patrimoine immatériel s’il en est, le patois local, tiré de l’occitan, était autrefois couramment employé dans le langage courant des habitants du Plateau. Pour le sauvegarder, l’association a constitué un groupe de « patoisans ».
Sous la direction de trois pratiquants reconnus, ses membres, au nombre d’une trentaine de femmes et d’hommes, y compris de communes hors du Plateau, se rassemble une fois par mois pour lire et parler le patois, dans un ambiance chaleureuse.
Lo Glaude, l’aiaça e lo chin Texte extrait du livre de Michel Boyer : Un braconaïre ès Golèna